(baixinho para que ninguém nos ouça)
A teoria é simples (e antiga)
Não adianta espremer a classe baixa porque eles sabem que não podem ficar mais pobres.
Adianta espremer a classe média porque eles, ao sentirem-se espremidos, vão dar tudo o que podem para se manterem nessa classe.
Não se espreme a classe alta porque não somos masoquistas.
[0.555/2011]
Não adianta espremer a classe baixa porque eles sabem que não podem ficar mais pobres.
Adianta espremer a classe média porque eles, ao sentirem-se espremidos, vão dar tudo o que podem para se manterem nessa classe.
Não se espreme a classe alta porque não somos masoquistas.
«Colbert: Pour trouver de l'argent, il arrive un moment où tripoter ne suffit plus. J'aimerais que Monsieur le surintendant m'explique comment on s'y prend pour dépenser encore quand on est déjà endetté jusqu'au cou…LNT
Mazarin: Quand on est un simple mortel, bien sûr, et qu'on est couvert de dettes, on va en prison. Mais l'Etat… L'Etat, lui, c'est différent. On ne peut pas jeter l'Etat en prison. Alors, il continue, il creuse la dette! Tous les Etats font ça.
Colbert: Ah oui? Vous croyez? Cependant, il nous faut de l'argent. Et comment en trouver quand on a déjà créé tous les impôts imaginables?
Mazarin: On en crée d'autres.
Colbert: Nous ne pouvons pas taxer les pauvres plus qu'ils ne le sont déjà.
Mazarin: Oui, c'est impossible.
Colbert: Alors, les riches?
Mazarin: Les riches non plus. Ils ne dépenseraient plus. Un riche qui dépense fait vivre des cen¬taines de pauvres.
Colbert: Alors, comment fait-on?
Mazarin: Colbert, tu raisonnes comme un fromage! Il y a quantité de gens qui sont entre les deux, ni pauvres ni riches… Des Français qui travaillent, rêvant d'être riches et redoutant d'être pauvres! C'est ceux-là que nous allons taxer, encore plus, toujours plus! Ceux-là! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser... C'est un réservoir inépuisable. »
Le Diable Rouge, Antoine Rault
entretien entre Colbert et Mazarin
[0.555/2011]
3 comentários:
Senhor Barbeiro
Eles poderão espremer a nossa bolsa, mas o que eles nunca conseguirão espremer são as nossas ideias a nossa criatividade o nosso ser. Então o que lhe sugiro, é que está na hora de informar a sua clientela, do mote para o concurso do Natal deste ano.
Começo a ficar preocupada com o silêncio.
Não se deixe esmorecer, porque nem as suas colaboradoras nem a sua fiel clientela o merecem.
Fico a aguardar com expectativa e alguma ansiedade.
CC
Ao que nós chegámos e do que eles são capazes....
CC
A acção está programada para muito breve.
Esta barbearia sem o concurso de Natal seria como um jardim sem flores.
As notícias não tardarão.
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